Le « Google lab », connu pour travailler sur des projets atypiques, a annoncé jeudi 16 janvier qu’il était en train de mettre au point des lentilles de contact susceptibles d’aider les personnes diabétiques à gérer leur taux de sucre.
« Nous sommes en train de tester des lentilles intelligentes fabriquées pourmesurer le taux de glucose dans les larmes », ont expliqué les deux personnes à l’origine du projet, Brian Otis et Babak Parviz, dans une publication sur un blog.
Ces lentilles fonctionnent en « utilisant une petite puce connectée et un capteur de glucose miniaturisé, qui sont enfermés entre deux couches de matériaux dont on fait les lentilles de contact », ont-ils ajouté.
DES « PROJETS QUI PEUVENT PARAÎTRE ÉTRANGES »
Selon eux, des tests cliniques ont déjà été effectués sur le projet, qui n’en est qu’àses débuts, et des discussions sont en cours avec la FDA, l’Agence des médicaments américaine. Les prototypes de ces lentilles peuvent déterminer la quantité de glucose dans les larmes chaque seconde. Les chercheurs étudient la possibilité d’intégrer des signaux lumineux qui préviendraient les utilisateurs quand certains seuils de glucose sont dépassés.
« Nous avons toujours dit que nous cherchions à travailler sur des projets qui peuvent paraître étranges », ont encore noté Brian Otis et Babak Parviz. « Mais alors que la Fédération internationale du diabète a déclaré que le monde était en train de “perdre la bataille du diabète”, nous pensions que ce projet valait la peine d’être développé », ont-ils conclu.
Des chercheurs montréalais ont découvert qu’une protéine située dans les tissus musculaires pourrait contribuer au développement du diabète de type 2 à l’âge adulte.
Une étude menée par des chercheurs montréalais suggère que de faibles niveaux de la protéine PGC-1a dans le muscle pourraient s’avérer une façon prometteuse de prédire tôt les risques de diabète de type 2
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Les résultats de l’étude, publiée mercredi dans la revue American Journal of Physiology – Endocrinology and Metabolism, laissent entrevoir une nouvelle façon de prédire tôt les risques de diabète et même de prévenir ou retarder la progression de la maladie.
L’équipe de l’Institut de recherches cliniques de Montréal (IRCM) dirigée par la docteure Jennifer Estall, a d’abord constaté que les jeunes souris dépourvues d’une certaine protéine qui régule la production d’énergie dans les cellules, apparaissaient plus saines puisqu’elles avaient un taux de sucre plus bas avant et après les repas.
Les chercheurs ont donc émis l’hypothèse que des niveaux plus bas de cette protéine étaient préférables, mais ils ont plutôt constaté qu’en vieillissant, les souris dépourvues de cette protéine (la protéine PGC-1a) développaient une intolérance au glucose et une résistance à l’insuline importantes, soit des caractéristiques dudiabète de type 2.
Leur constat final a donc été que des niveaux chroniquement faibles de la protéine pourraient contribuer au développement du diabète à l’âge adulte.
L’étude suggère ainsi que de faibles niveaux de la protéine PGC-1a dans le muscle pourraient s’avérer une façon prometteuse de prédire tôt les risques de diabète de type 2 et, surtout, que des médicaments augmentant les niveaux de cette protéine pourraient aider à prévenir ou à retarder la progression de la maladie.
Source : http://www.lapresse.ca/sciences/medecine/201401/15/01-4728884-une-proteine-permettrait-de-predire-les-risques-de-diabete-de-type-2.php Publié le 15/01/2014
Mélanger le beurre avec le Tagatesse. Mélanger la poudre d’amandes et les oeufs. Former avec la farine un mélange homogène. Mettre la pâte dans un moule recouvert d’un papier sulfurisé. Faites cuire dans un four préchauffé à 160°C pendant 30 minutes.